BNP AM

L'investisseur durable d'un monde qui change

Nous travaillons sur l’investissement durable depuis 20 ans. En 2019, nous avons formalisé notre approche dans notre Stratégie Globale « Sustainability ». En 2021, nous avons parachevé notre transition pour devenir une société de gestion d’actifs durable en adoptant comme signature « L’investisseur durable d’un monde qui change ». L’un des piliers de notre stratégie est notre engagement à « apporter une contribution significative à la transition énergétique à faible émission de carbone ».

Nous avons consolidé cet engagement en adhérant à l’initiative « Net Zéro Asset Managers » (NZAM). Dans ce document, nous présentons nos engagements « net zéro », qui couvrent notre activité d’investissement, nos activités de vote et d’engagement, et nos opérations.

Au fil des années, nous avons participé à de multiples initiatives visant à lutter contre le changement climatique et à contribuer à la transition énergétique.

Que couvrent nos 10 engagements ?

Dans le cadre de notre démarche visant à construire des portefeuilles neutres en carbone, nous avons dans un premier temps axé nos initiatives sur les actions cotées et les obligations d’entreprises. Ces instruments financiers représentent 50 % de nos actifs sous gestion. Sont également couverts les fonds relevant des Articles 8 et 9 du Règlement sur la publication d’informations en matière de durabilité (SFDR). Nos engagements s’appliquent également aux fonds et aux mandats gérés conformément à notre politique de Conduite Responsable de Entreprise (CRE).

En revanche, ces engagements ne s’appliquent pas encore aux mandats pour lesquels les clients n’ont pas adhéré à notre politique CRE, aux fonds gérés par nos filiales de conseil et nos sociétés affiliées, et aux fonds en gestion conseillée. Ils ne s’appliquent pas non plus aux investissements dans des titres émis par les États et les agences, les produits dérivés et les actifs privés (cf. encadrés ci-dessous).

En tant qu’acteur majeur de la transition vers un avenir « net zéro », nous nous efforçons d’améliorer en permanence les outils et les indicateurs permettant d’évaluer notre exposition aux risques et aux opportunités climatiques, ainsi que de contrôler et de rendre compte de nos engagements « net zéro ». La proportion de nos participations couvertes par nos engagements sera augmentée de manière régulière pour atteindre 100 % d’ici 2050.


Obligations souveraines

Nos engagements « net zéro » ne s’appliquent pas encore aux obligations souveraines. Nous pensons en effet que les indicateurs de carbone et les méthodes d’alignement sur les trajectoires de température ne font pas l’objet d’un consensus assez large pour cette classe d’actifs. De plus, en tant que gérant d’actifs, notre influence directe sur les politiques climatiques et leurs résultats est moins tangible.

Néanmoins, nous évaluons la performance climatique des émetteurs souverains et cherchons à améliorer nos méthodologies afin de pouvoir inclure les obligations souveraines dans le périmètre de nos engagements « nets zéro ». Nous prenons en compte, par exemple, le risque climatique physique et les politiques d’atténuation du climat dans le cadre de notre système de notation ESG. Pour améliorer nos méthodes d’évaluation, nous cherchons à estimer l’empreinte carbone des émetteurs souverains.


Marchés privés

Sur ce segment, la plupart de nos fonds investis dans des entreprises, l’immobilier et les infrastructures ont dépassé leur période d’investissement initiale, ce qui limite notre capacité à modifier la trajectoire des émissions. Cependant, nous avons déjà mis en œuvre des méthodes d’évaluation des risques liés au changement climatique dans nos portefeuilles exposés aux marchés privés et avons l’intention d’appliquer nos engagements aux prochains fonds qui seront lancés.


Investissements

1 – Réduire l’empreinte carbone des investissements (scopes 1 et 2) de 30 % d’ici 2025 et de 50 % d’ici 2030 (par rapport à 2019)

Nous pensons que les réductions d’émissions que nous visons sont compatibles avec les réductions nécessaires des émissions mondiales de GES pour atteindre des émissions « net zéro » d’ici 2050. Cet engagement couvre les émissions de scopes 1 et 2. Il sera élargi lorsque notre méthode de mesure des émissions tiendra compte des émissions de scope 3.

Nous avons commencé à mesurer l’empreinte carbone de nos fonds et mandats actions ISR dès 2011. En mai 2015, en tant que signataires du Montreal Carbon Pledge, nous avons pris l’engagement de mesurer et de rendre compte progressivement de l’empreinte carbone de nos fonds ouverts. Aujourd’hui, nous mesurons systématiquement l’empreinte carbone de nos portefeuilles actions et obligataires et nous nous sommes engagés – dans nos principes d’intégration ESG – à ce que l’empreinte carbone de nos portefeuilles gérés activement soit inférieure à celle de leurs indices de référence.

Fin 2019, l’empreinte carbone globale des fonds de BNPP AM (sur la base du périmètre de notre engagement) était de 91,72 tCO2/m€ investis. Il s’agit de la base de référence de l’engagement dans notre feuille de route vers le « net zéro »1. Notre objectif est de réduire ce chiffre de 30 % d’ici 2025 et de 50 % d’ici 203


Reduction de l empreinte carbone de BNPP AM
Source: BNP Paribas Asset Management, October 2022

2 – Aligner 60 % de nos investissements sur l’objectif « net zéro » d’ici 2030 et 100 % d’ici 2040

Pour mesurer l’alignement des entreprises sur l’objectif « net zéro », nous avons élaboré un cadre de référence exclusif largement inspiré du cadre d’investissement « net zéro » de la Paris Aligned Investment Initiative (PAII)2 . Ce cadre « triple A » (NZ:AAA) repose sur des sources largement reconnues. Il nous permet d’évaluer l’alignement de chaque entreprise sur le principe « net zéro ». Les entreprises sont classées en trois catégories :

  • « Net zéro » atteint : entreprises ayant déjà atteint des émissions « net zéro »
  • Aligné sur le « net zéro » : entreprises dont la trajectoire est compatible avec la neutralité carbone d’ici 2050
  • En cours d’alignement sur le « net zéro » : entreprises en passe de s’aligner sur une trajectoire « net zéro ».

60 % de nos investissements devraient entrer dans ces catégories d’ici 2030 et 100 % d’ici 2040. Nous serons alors en bonne voie pour aligner intégralement nos portefeuilles sur l’objectif « net zéro » d’ici 2050.

Ventilation des actifs sous gestion

3 – Stopper les investissements liés au charbon d’ici 2030 dans les pays de l’Union Européenne et l’OCDE et d’ici 2040 dans le reste du monde

Dans le cadre de notre politique actuelle de Conduite d’Entreprise Responsable, nous limitons les investissements dans le charbon pour :

  • Gérer le risque lié aux actifs obsolètes
  • Améliorer le profil climatique de nos participations
  • Évitez d’investir dans les activités les plus néfastes pour le climat.

Depuis sa mise en œuvre, nous n’avons cessé de renforcer notre politique relative au charbon.

Dans le cadre de cet engagement, nous excluons les sociétés minières qui n’ont pas de stratégie de sortie des activités liées au charbon thermique, ainsi que les producteurs d’électricité qui utiliseront encore du charbon d’ici 2030 dans les pays de l’Union européenne et de l’OCDE, et d’ici 2040 dans le reste du monde.  

Pour l’heure, nous continuons d’utiliser le Scénario de développement durable (SDS) de l’AIE. Nous ne prévoyons pas d’adopter le scénario « net zéro » de l’AIE pour les producteurs d’électricité et de segmenter notre référentiel d’intensité carbone en matière de production d’électricité par région. Nous préférons aligner nos investissements dans d’autres secteurs à forte intensité carbone qui n’ont pas encore été traités et aligner nos portefeuilles au-delà de la production d’électricité.

4 – Augmenter sensiblement les investissements dans les solutions axées sur les thématiques climatiques et environnementalesclimate and environmentally themed solutions substantially

Si la transition vers une économie « net zéro » comporte des risques, elle offre également des opportunités intéressantes dans les technologies existantes, telles que l’éolien et le solaire, ou dans les nouvelles technologies, comme les technologies propres. Des milliers de milliards de dollars d’investissements seront nécessaires, que ce soit en faveur des technologies d’adaptation ou d’atténuation des conséquences du dérèglement climatique.3

BNPP AM est aujourd’hui l’un des leaders de l’investissement durable, avec plus de 21,4 milliards d’euros investis dans des fonds thématiques durables dédiés à des thèmes environnementaux, climatiques et sociaux.

Au-delà de nos stratégies existantes qui investissent dans des opportunités liées au climat et à l’environnement, nous continuerons à innover et à proposer à nos clients des solutions conformément à notre engagement « net zéro » dans de multiples classes d’actifs (actions, obligations, gestion passive, marchés privés, etc.)

5 – Accompagner nos clients dans leur démarche « net zéro »

Dans notre système financier interconnecté, nous devons mener un travail collectif pour parvenir à une économie « net zéro » d’ici 2050. C’est pourquoi nous comptons collaborer avec nos clients et les encourager à contribuer à nos efforts pour atteindre ensemble cet objectif commun.

Cet engagement prendra plusieurs formes, et notamment :

  • Communiquer régulièrement sur notre stratégie « net zéro », avec des points réguliers sur les évolutions et les progrès réalisés
  • Fournir aux clients des supports pédagogiques et de formation sur la notion de « net zéro »
  • Partager nos réflexions sur le changement climatique et les thèmes liés à l’objectif « net zéro »
  • Concevoir des solutions d’investissement sur les thèmes du climat et de l’environnement, et des indicateurs permettant aux clients d’évaluer l’alignement de leurs portefeuilles sur l’objectif « net zéro »
  • Accompagner nos clients institutionnels pour leur fournir des solutions d’investissement sur mesure.

Vote et engagement

6 – Voter en faveur de l’action climatique

Nous attendons des entreprises qu’elles rendent compte de leurs émissions de GES. Nous voulons que les plus gros émetteurs mondiaux se fixent un objectif « net zéro » d’ici 2050, en s’appuyant sur des plans de transition clairs. Nous soutiendrons les propositions d’actionnaires et soumettrons nos propres propositions pour accélérer les initiatives des entreprises dans ces deux domaines.

Nous avons intégré les enjeux relatifs au changement climatique dans notre politique de vote. Par conséquent, nous utiliserons notre vote pour encourager les entreprises à :

  • Rendre compte précisément de toutes les émissions de gaz à effet de serre générées par leurs activités (scopes 1 et 2 pour toutes les entreprises et scope 3 le cas échéant)
  • Communiquer ou établir un dialogue constructif sur leur stratégie d’adaptation au changement climatique ou leur stratégie de défense d’intérêts en matière climatique.
  • Se fixer l’ambition de parvenir à des émissions « net zéro » d’ici 2050.

Pour les entreprises qui ne sont pas à la hauteur de nos attentes, nous nous opposerons aux résolutions de quitus du conseil d’administration et de la direction, la réélection des membres du conseil d’administration et les états financiers. Nous pouvons également comparer la stratégie climatique d’une entreprise par rapport à ses pairs.

Nous nous efforcerons d’appliquer nos politiques de manière cohérente sur tous les marchés.

Soutie naux propositions d actionnaires liees au climat
Opposition aux propositions des directions pour
Source : Rapport Sustainability 2021 et données de BNPP AM à fin juin 2022

7 – Dialoguer avec les entreprises sur l’objectif « net zéro »

En tant que membre de l’initiative Climate Action 100+, qui vise à nouer un dialogue avec les principales entreprises émettrices de GES, nous participons aux échanges avec des producteurs d’électricité, des groupes pétroliers et gaziers et des compagnies aériennes en Europe, en Amérique du Nord et en Asie – trois secteurs essentiels à la transition énergétique.

Dans le cadre de notre dialogue avec elles, nous mettons l’accent sur le lobbying climatique des entreprises, en particulier concernant les activités présentant des risques élevés pour les investisseurs et l’économie Nous avons contribué à l’instauration de la Norme mondiale pour un lobbying climatique responsable pour évaluer les rapports de lobbying climatique des entreprises.

Pour promouvoir la durabilité, en mettant l’accent sur la déforestation et l’eau, nous avons contribué au lancement de l’initiative Nature Action 1004 avec d’autres investisseurs institutionnels. Cette initiative vise à lutter contre le déclin du capital naturel en impliquant les entreprises et les responsables politiques.

Nous participons également à d’autres initiatives collaboratives liées au climat.

8 – Plaidoyer en faveur d’une politique climatique

Au-delà de nos votes par procuration et du dialogue engagé avec les entreprises, il est essentiel que les investisseurs participent à l’élaboration des politiques publiques pour que tous les moyens soient mis œuvre afin d’atteindre la neutralité carbone.

Les investisseurs accordent de plus en plus d’importance à l’élaboration de politiques publiques volontaristes et favorables au climat et au rôle qu’ils ont à jouer, en parallèle des entreprises, pour influencer ces politiques.

Le principal défi pour que les portefeuilles soient alignés sur l’objectif « net zéro » est de placer l’économie mondiale sur la trajectoire de la neutralité carbone. Tant que ce ne sera pas le cas, l’univers d’investissement « net zéro » se réduira. D’où l’importance d’adopter une approche prospective et de s’engager sur le long terme, y compris via les politiques publiques.

Pour y contribuer, nous sommes notamment devenus signataires de la Déclaration des investisseurs mondiaux aux gouvernements sur la crise climatique afin d’encourager les pays à accroître leurs contributions dans le cadre de l’Accord de Paris et à assurer une transition ordonnée vers le « net zéro ».

Nos opérations

9 – Réduire notre empreinte opérationnelle

En tant que gérant d’actifs durable, nos pratiques doivent égaler, voire dépasser, les standards que nous attendons des entités dans lesquelles nous investissons. En plus de réduire nos impacts négatifs sur la société, cette démarche contribue à insuffler une culture en ligne avec notre philosophie d’investissement.

Nous encourageons nos collaborateurs à intégrer les principes de durabilité dans leurs activités quotidiennes, qu’il s’agisse d’investissements, de ventes ou de rôles opérationnels.

Pour réduire notre empreinte, nous avons mis en place une stratégie en trois volets baptisée « Mission zéro » :

  • Réduire les émissions en optimisant nos opérations
  • Acheter des énergies vertes lorsque cela est possible
  • Compenser toutes les émissions résiduelles restantes.

Pour réduire l’intensité en émissions de notre empreinte carbone, plusieurs de nos bureaux sont alimentés par des énergies vertes ou bas-carbone. L’adoption de pratiques de travail flexibles et de nouvelles méthodes nécessitera moins d’espace de bureau, ce qui réduira également notre empreinte. Lorsque nous changeons de locaux, nous privilégions les espaces bénéficiant d’une certification verte.

Dans le cadre de nos activités numériques, nous présentons nos objectifs environnementaux à nos fournisseurs et adaptons nos contrats de prestation ; nous transformons les centres de données en installations de pointe ; nous nous efforçons de réutiliser et de recycler les équipements informatiques ; nous sensibilisons nos collaborateurs et les incitons à limiter l’impact de leurs activités numériques.

En matière de réduction des déchets, nous mettons en œuvre des projets pluriannuels comme la suppression du plastique à usage unique, l’organisation de challenges internes pour diminuer l’usage du papier et la mise en place de filières de recyclage pour les déchets spéciaux.

Nous faisons en sorte que nos collaborateurs disposent des connaissances les plus récentes sur les questions liées à la durabilité. Nous proposons des programmes de formation tels que le CFA dédié à la gestion ESG ainsi qu’un programme de formation sur la finance durable développé par BNP Paribas et le Cambridge Institute for Sustainable Leadership.

Nous avons intégré les objectifs de durabilité à l’évaluation des performances, à la rémunération variable et au développement professionnel. Nous avons ajouté des objectifs ESG aux décisions d’investissement. Nous allons chercher à déterminer comment les intégrer davantage dans nos systèmes de rémunération.

Immeubles de bureaux dans le monde
Source : Rapport Sustainability 2021

10 – Rendre compte des progrès réalisés

Nous produirons un reporting aligné sur les recommandations du TCFD, en contribuant à la fois au Rapport TCFD du groupe BNP Paribas et en incluant une section dédiée dans notre Rapport Sustainability.

Tout comme nous attendons des entités dans lesquelles nous investissons qu’elles publient des rapports transparents et détaillés, étape nécessaire à la mise en place d’un système financier durable, nous nous engageons à publier régulièrement des rapports sur nos activités et pratiques liées au développement durable et au climat. 

Dans les années à venir, nous continuerons à travailler à l’amélioration de notre reporting aux clients et aux régulateurs, notamment sur nos expertises climatiques et initiatives « net zéro ».

Conclusion

Ce document présente les engagements initiaux de BNP Paribas Asset Management dans le cadre de son adhésion à l’initiative Net Zéro Asset Managers (NZAM). Ces engagements s’appuient sur le travail effectué au cours des années précédentes :

Nous avons l’intention d’accroître le montant de nos actifs sous gestion couverts par nos engagements « net zéro » et de renforcer nos objectifs afin d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Nous sommes impatients de collaborer avec nos clients, les entreprises dans lesquelles nous investissons, nos pairs et les États pour atteindre cette mission si essentielle : une économie « net zéro » d’ici le milieu du siècle.

Pour en savoir plus sur ces sujets, consultez notre Feuille de route vers le « net zéro », ainsi que notre dernier Rapport Sustainability

References

1 A noter que ce chiffre reflète nos expositions à la fin de l’année 2019, sans fixation d’une nouvelle base de référence. Si l’allocation d’actifs de la société et ses expositions géographiques et sectorielles venaient à évoluer de manière radicale au fil du temps (par exemple en raison d’une fusion ou d’une acquisition), nous devrions alors établir une méthodologie pour fixer une nouvelle base de référence. Dans ce scénario, nous serions transparents quant au raisonnement appliqué et aux méthodes utilisées.

2 https://www.iigcc.org/download/net-zero-investment-framework-implementation-guide/?wpdmdl=4425&refresh=61c444d8e6d101640252632
3 Selon l’Energy Transitions Commission, le développement de ces technologies et d’autres, notamment la bioénergie, visant à décarboner les secteurs de l’aviation, du transport lourd de marchandises et de l’agriculture, nécessitera entre 1 000 et 2 000 milliards de dollars d’investissements par an. L’adoption de technologies bas-carbone devrait connaître une croissance exponentielle au cours des prochaines décennies et nécessiter des investissements estimés à 275 000 milliards de dollars d’ici 2050, selon un rapport de McKinsey (2021).

4 Une initiative visant à inverser le déclin de la nature d’ici 2030

Disclaimer

  • Les opinions exprimées ici sont celles de l’auteur à la date de publication, sur la base des informations disponibles. Elles sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Ce document ne constitue pas un conseil en investissement.
  • La valeur des investissements et les revenus qu’ils génèrent peuvent aussi bien diminuer qu’augmenter et il est possible que les investisseurs ne récupèrent pas leur mise de fonds initiale. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures.
Les investissements sont soumis aux fluctuations des marchés et aux autres risques inhérents à l’investissement dans des valeurs mobilières. La valeur des investissements et les revenus qu’ils génèrent peuvent aussi bien diminuer qu’augmenter et il est possible que les investisseurs ne récupèrent pas leur mise de fonds initiale. Rien ne garantit que les objectifs de performance soient atteints.